Aurélien Scholl avait été provoqué en duel par un mauvais écrivain.
Celui-ci lui avait dédaigneusement tendu sa carte, en lui disant
- Je vous laisse le choix des armes.
- Je choisis l’orthographe : vous êtes mort d’avance.
Celui-ci lui avait dédaigneusement tendu sa carte, en lui disant
- Je vous laisse le choix des armes.
- Je choisis l’orthographe : vous êtes mort d’avance.
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