« J’ai sympathisé avec lui pendant la Première Guerre, répondit Karl. Ensuite, tout en reconnaissant son talent oratoire, son éloquence quasi mystique, je l’ai toujours sous-estimé. D’abord, j’ai pensé qu’il était trop bête pour arriver au pouvoir. Ensuite, que son programme était trop bête pour qu’il cherche à l’appliquer. On ne se méfie jamais assez des imbéciles. On ne les voit pas venir. Ils ne ressemblent à rien. C’est ce qui les distingue. »
(in Le schmock de Franz-Olivier Giesbert)
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